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Le restaurant la Scierie nourrit sa passion au cœur de la Clusaz

Le restaurant la Scierie, c’est bien sûr et avant tout une histoire. De famille. De terroir. C’est l’apologie de ce qu’on attend d’un restaurant, d’une table qui a pris le temps de trouver et de doser les ingrédients qui font sa recette avant de faire recette. Un endroit qui a une âme, posé à deux pas de l’épicentre touristique de la Clusaz. Juste un peu en dehors des sentiers battus. Le restaurant de la Scierie se mérite, se découvre. « Tell your best friends !!! » dit François Pollet-Thiollier, le patron et héritier de cette scierie séculaire à qui il a donné le nom de son restaurant. Un nom qui se passe désormais de bouche à oreille, de la Clusaz à Annecy, de Genève à l’ensemble du plateau des Aravis. Comme un écho.

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Un restaurant à la Clusaz à déguster avec les yeux

A la Scierie, l’esprit de la Clusaz et de la tradition savoyarde est à l’honneur. Le bois de l’ancienne scierie y est omniprésent, comme un hommage au passé et à l’histoire de ce lieu. Tables, chaises siglées, lambris de bois brut, poutres séculaires… même la cheminée est habillée de lames de pin pour composer un écrin de lumière qui nimbe ce restaurant de la Clusaz dès la nuit tombée. Les essences sylvestres de ce feu de joie s’invitent à la table et se mêlent aux effluves des plats. Des nappes de coton aux lumières tamisées des lampes qui ponctuent le restaurant, des souvenirs qui s’accrochent aux murs à la belle modernité des tableaux et de la vaisselle, tout est une question d’équilibre et d’harmonie. Entre hier et aujourd’hui. Entre tradition et modernité. Entre rusticité et élégance. Elle n’est pas si grande, cette salle avec ses 80 couverts. Elle a juste la taille qu’il faut à un restaurant qui veut conserver son âme tout en offrant à ses convives la place qu’ils méritent. La première ! La Scierie est une alchimie. Que l’on déguste d’abord avec les yeux.
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Maître restaurateur, l’art de la fraîcheur au quotidien

En cultivant l’amour du produit brut et frais, qui ajoute une saveur incomparable aux plats de sa carte et à ses menus, mais également la spontanéité et la compétence du service, le détail de l’accueil et l’élégance de la décoration, la Scierie a décroché en janvier 2014, le titre de « Maître Restaurateur ». Ce titre récompense l’excellence des meilleurs professionnels de la restauration, en valorisant leur compétence et leur engagement en faveur de la qualité. A une époque où l’on se pose beaucoup de questions sur ce que l’on mange, informer et rassurer les clients sur le contenu de leur assiette est devenu un véritable critère de choix. La Scierie l’a bien compris et affiche désormais fièrement ce gage de transparence et d’authenticité culinaires au cœur des Aravis.

Une cuisine de produits et d’émotions

Le décor est planté et bien planté au cœur des Aravis, dans cette station de montagne séculaire qu’est la Clusaz. Alors, vous l’aurez compris, la Scierie est un restaurant atypique, authentique, gastronomique et sympathique, qui puise son inspiration dans un terroir qui lui ouvre mille recettes mais qui est également dans l’air du temps.
Avec, en cuisine, une brigade qui a du jus et un chef un peu toqué qui font monter la sauce et en salle, une équipe à croquer. Et puis, bien sûr, les indispensables artisans, éleveurs, cultivateurs locaux dont les produits et le savoir-faire 100 % vrai contribuent à la belle nature et au parfum de « revenez-y » de ce restaurant bistronomique qui a bientôt 20 ans.

Christophe Janvier, qui aiguillonne de ses 2 Fourchettes acquises au Guide Michelin la carte de la Scierie en est le chef d’orchestre des saveurs depuis plus de 4 ans. Ce passionné de fraîcheur, locavore dans l’âme, concocte des recettes qui rendent hommage aux produits de région et de saison. Sans pour autant abandonner les plats signature qui font, depuis toujours, la renommée de cette adresse de montagne aussi bistronomique qu’authentique.

Produits frais et cuisson du jour obligent, à pleines mains et dès poltron minet, on a le geste essentiel et généreux : les mains pèlent, cisèlent, pétrissent et découpent en gestes précis. Montagne oblige, la fraîche attitude en altitude, c’est un choix exigeant… A la Scierie, tout est fait maison. Alors, en matière de produits pour élaborer ses recettes, ce restaurant bistronomique a des goûts simples : il se contente du meilleur.

Ici, le chef égrène en cuisine les charmes du terroir et de la tradition revisitée, sur une partition savoureuse qui mêle fraîcheur, sensibilité, créativité et générosité.Autant de qualificatifs qu’on pourrait attribuer à ce cuisinier passionné, dont la vocation s’est nourrie d’un parcours riche d’expériences. Avant que son goût de la montagne et des nouveaux défis lui fasse traverser la France pour s’ancrer… A la Clusaz.

Il propose au cœur des Aravis une cuisine gourmande et inspirée, un mariage de saveurs délicates et d’éclats audacieux, de cuissons parfaites et de goûts uniques, placés sous l’influence des saisons et d’une créativité… au sommet. Pour lui, le local, c’est idéal et indissociable de la saisonnalité et de la personnalité de la Scierie. Du coup, il mitonne des plats du jour succulents et saisit à la demande ses « suggestions maison » qui ne lésinent ni sur la qualité, ni sur la quantité et font longuement hésiter les habitués avec ses menus gourmands.

Chaque jour, il rend un nouvel hommage à l’excellence et la variété des produits du terroir de la montagne et des Aravis. Une partition exigeante faite d’une touche d’improvisation et d’une note de fantaisie, mais qui explore avec brio toute la gamme des saveurs du moment.
Pourtant, bien qu’éphémère, les menus et la carte de la Scierie a aussi ses Madeleines de Proust. On y retrouve, selon la saison, la fondue aux cèpes, le risotto à la truffe noire, les pièces de bœuf maturées, le tartare de poissons de ligne, le burger de filet de bœuf ou les coquilles Saint-Jacques rôties. Des classiques de la Scierie dont l’intitulé ne ment pas : les papilles frémissent, l’odorat s’éveille et le regard pétille à la seule vue de l’assiette. Une gastronomie au fil du temps qui se fait inventaire à la Prévert de produits nobles, truffe noire, foie gras, poissons de ligne, bœuf Wagyu Auskobé, agneau de la Clusaz, offrant aux convives une explosion de sensations parfaitement orchestrées et présentées dans l’assiette comme autant de sculptures irrésistibles.

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